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Sites d’intérêt archéologique

En passant sous la domination étrangère à plusieurs reprises de différentes civilisations ont laissé leurs traces en Crète qui est considérée la mère des civilisations et plutôt de la civilisation Minoenne. Les trouvailles archéologiques qui ont vu le jour sont d’une énorme importance, non seulement pour les sciences mais aussi pour l’anthropologie (p.ex. le Disque de Phaistos). Et il y a encore plein de choses à découvrir.

 

Knossos

Knossos était le plus important centre de la Civilisation Minoenne. Il a pris son nom du Roi Minos. Certains chercheurs croient que Minos n’était pas une seule personne mais un titre pour les gouverneurs en ancien crétois. Cela n’est pas pourtant confirmé parce que la langue ancienne de Crète demeure principalement inconnue parce que le Disque de Phaistos n’est pas toujours traduit (Phaistos était le deuxième plus important centre pendant la Civilisation Minoenne).

 

On estime que la Civilisation Minoenne avait déjà été développé vers 3500 av. J.-C. et sa croissance continue jusqu’ au 12e siècle av. J.-C. Le premier robot a été peut-être inventé en Crète (Talos). En effet l’influence de la Civilisation Minoenne était très importante comme le confirment les arts et l’architecture des civilisations antérieures à Mycènes et à Thira (Santorin).

 

Un grand nombre de légendes naissent à Knossos, comme celle de Minotaure, un homme à tete de taureau tué par Thésée dans le labyrinthe de Knossos.

 

La cité de Knossos, qui avait été toujours habitée depuis l’Epoque Néolithique, a été située à Kefala, 5 km au sud-est de Héraklion. Bien qu’une petite partie en existe encore, on peut voir les conquêtes de non anciens comme par exemple le système d’approvisionnement en eau et les tuyaux en terre cuite.

 

Le Musée Archéologique de Héraklion abrite les trouvailles du palais de Knossos (vases, vaisseaux, figurines, des archives en linéaire B, des peintures murales originales).

 

Eleftherna

Ancienne Eleftherna, situé à 30 km sud-est de la ville de Réthymnon, est une de plus anciennes cités en Crète et le site archéologique le plus important dans la région de Réthymnon. La cité a été fondée par les Doriens au 9e siècle av. J.-C. et elle est restée habitée jusqu’à la période byzantine. Son importance dans l’Antiquité est liée à sa position stratégique où se rencontrent trois routes : celle de la cité de Knossos, celle de la cité de Kydonia (à la Canée) et celle des Montagnes de Idi (Psiloritis).

 

De précieuses trouvailles se révèlent encore de nos jours dans la région dans trois sites différents sur la même colline.

 

Eleftherna était une de cités qui avait choisi le camp du Roi Macédonien Philippe II pendant la Première Guerre Crétoise (205 AV. J.-C. – 200 AV. J.-C.) contre Knossos. Quelques années plus tard, elle était sous l’Empire Romaine après une forte résistance. Toutefois, elle n’a jamais cessé de se développer. Pendant les années romaines, on a construit des bains, des citernes, des palais, des bâtiments publics et une tour. Après sa destruction par les Arabes, on a construit la Grande Basilique dont the ruines sont encore visibles.

 

Un double tombeau d’un jeune couple a été découvert récemment (en 2010) à Eleftherna. Le couple a été couvert d’un drap funéraire composé de 3000 feuilles d’or! Dans le même tombeau datant de 2700 ans on a trouvé un bijou en or représentant une abeille.

 

Arkadi

The Holy Abbey of Arkadi is probably the most historic Abbey in Crete. It is argued that it was named after Byzantine Emperor Arkadios. It is built in a strategic location, on a fertile plateau of Mountain Idi (Psiloritis).

 

Le 8 novembre 1866 ce Monastère a fait au nom de la liberté le plus grand sacrifice en Crète contre la Domination Ottomane qui avait duré 250 ans. Environ 1500 guerriers venus de toute la Crète sont engagés dans un conflit sanglant contre 15000 Turcs, qui avaient décidé de mettre fin à la Révolution Grecque à tout prix. Quand la défense des Grecs a été cassé et l’Abbé Gabriel a été tué, les Crétois se sont réfugiés à la poudrière. Comme il n’y avait pas d’autre solution, Konstantinos Giampoudakis a mis du feu aux barils de poudre. Par conséquence, des milliers de Grecs et de Turcs ont été tués. Parmi les Grecs, il y avait plus de 500 femmes et enfants. La légende dit que l’explosion a été entendue jusqu’à Héraklion.

 

Les Crétois ont continué de se battre pour un jour avant de céder. Le jour suivant ils ont été exécutés.

 

Grace à ce sacrifice, le Monastère de Arkadi est devenu symbole de liberté et a fait naitre le mouvement philhellénique en Europe.

 

Le Monastère a été complètement reconstruit après sa destruction. Aujourd’hui, la seule chose qui rappelle le courage de Giampoudakis et des guerriers qui sont morts est un boulet de canon dans le vieux cyprès qui se trouve à la droite de l’église.

 

Arkadi a été inscrit au Patrimoine Mondial de l’UNESCO.

 

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